CHAT, CHIEN ET HOMME : LA LEGENDE DES ORIGINES
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CHAT, CHIEN ET HOMME : LA LEGENDE DES ORIGINES
Autrefois, les elfes parcouraient le monde. On les disait fils des étoiles, réfugiés d’un monde qui s’éteignait et fuyant les sombres menaces qui hantent les galaxies.
Ils étaient arrivés au temps des grands dragons, ceux que l’on appelle aussi dinosaures. La disparition des grands dragons leur avait rappelé que s’ils étaient immortels, ils n’étaient pas éternels, car même les dieux peuvent périr d’accident.
Leur vie bucolique se déroulait dans la joie et les chansons au cœur de l’immense et impénétrable forêt du Sahara lorsque le péril venu d’au-delà des étoiles les retrouva. Leurs ennemis innommables les avaient retrouvés.
Ils avaient l’apparence de loups gigantesque sur la figure desquels on pouvait lire une cruauté maléfique, une cruauté qui n’était pas de ce monde ! Une cruauté magique prête à se repaître de la magie des elfes.
L’affrontement fut à la hauteur des puissances magiques qui se heurtaient ! L’affrontement final fut tel que la magie détruisit la magie, entrainant chaos et destruction alentour. La terre en trembla sur son orbite. L’immense, la magnifique forêt du Sahara en fut détruite à jamais, changée en un aride désert. Plus jamais les chansons des elfes ne s’élèveraient sous ses frondaisons.
Vint enfin le moment où la dernière poignée d’elfes affrontât ses derniers adversaires, les derniers survivants des puissances du mal ! Epuisés, exténués, les adversaires firent une pause. L’extermination mutuelle était proche. Plus jamais l’une ou l’autre race ne pourrait prospérer. Croître et multiplier était devenu un passé à jamais révolu. Nul enjeu ne justifiait plus cette lutte.
Incapables de vaincre, les derniers survivants jetèrent le reste de leurs pouvoirs magiques dans le combat final. La magie affronta la magie ainsi furent détruites les dernières traces de magie sur notre monde. Ainsi furent détruits le mal absolu et le bien absolu, ne laissant sur notre monde que l’Espérance !
Ainsi les derniers survivants de ces deux races furent-ils privés de leurs pouvoirs magiques et devinrent-ils mortels.
Les elfes devinrent humains ! La plus noble part en eux était la soif de liberté qui s’exprimait dans leur communion avec la nature, dans cette démarche souple et ondulante, dans cet étrange regard qui traversait leurs vertes pupilles au dessin vertical. C’est ainsi que l’essence des elfes devint le chat ! Et que jamais plus l’homme ne connaitrait l’essence de la liberté qui serait l’objet des aspirations les plus profondément ancrées en lui !
Leurs ennemis de leur côté perdirent taille et puissance, sauvagerie et cruauté, devinrent loups et chiens, perdirent soif de conquête et de liberté. Ils jurèrent fidélité à ce qui restait de leurs anciens adversaires.
C’est ainsi que naquirent l’homme, le chat et le chien et que la place de chacun fut inscrite au firmament. L’homme toujours dominerait et aspirerait à une liberté qui jamais ne saurait lui suffire. Le chien, dans une fidélité à toute épreuve, jamais ne pourrait plus imaginer la liberté perdue. Le chat, épris de liberté, chercherait toujours autour de l’homme son moi à jamais disparu, mais jamais ne saurait connaître le repos. Et chat et chien garderaient à jamais une part de cet antagonisme qui avait failli tout annihiler !
On dit que certains furent peu affectés par ces transformations. Anubis raconta son histoire qui fut interprétée et transmise dans le Livre des Morts. Le dernier de la race dit-on disparut en France du côté de Gévaudan.
Isis, Osiris, Seth et quelques autres vécurent leurs derniers siècles au cœur de ce qui fut autrefois l’impénétrable forêt du Sahara et allait devenir les déserts de la Haute et de la Basse Egypte. Leurs récits, mal compris des hommes, allaient faire d’eux les divinités de l’Egypte naissante.
La dernière d’entre eux, Bastet, avait à la fois gardé son humanité et sa soif de liberté absolue. Tout en elle s’exprimait dans sa démarche et son allure féline. Elle ressemblait à une déesse à tête de chatte et exprimait en elle à la fois la douceur bucolique de sa race et les extrêmes colères qui avaient failli vaincre leurs ennemis.
C’est ainsi que Bastet, dernière survivante de ces épopées fantastiques, devint déesse de ce peuple nouveau qui jamais plus ne pourrait atteindre la splendeur de ces elfes dont ils étaient issus. Bastet permit l’alliance de son peuple, les chats, avec les humains leur permettant de vivre enfin côte à côte dans une approximation bien imparfaite de l’être unique qu’ils étaient autrefois. Ainsi l’homme découvrit que le chat était la part d‘absolu qui lui manquait.
On dit qu’une part de magie vit encore dans les lignées les plus antiques des chats d’Egypte et qu’ils peuvent rendre à certains humains une part du passé perdu.
Aujourd’hui encore, le mau égyptien porte en lui la bénédiction de Bastet. Conscient de cette richesse, il l’exprime par sa noblesse d’allure, sa forte personnalité indépendante, son tendresse fusionnelle pour l’humain. Selon la légende, la magie pourra renaître lorsque seront réunis dans une même portée les quatre couleurs du mau : le silver, le bronze, le black smoke et le noir, pour peu que leur humain favori en soit digne.
extrait du livre "à ma fille" - http://forum.fondcombe.com
Ils étaient arrivés au temps des grands dragons, ceux que l’on appelle aussi dinosaures. La disparition des grands dragons leur avait rappelé que s’ils étaient immortels, ils n’étaient pas éternels, car même les dieux peuvent périr d’accident.
Leur vie bucolique se déroulait dans la joie et les chansons au cœur de l’immense et impénétrable forêt du Sahara lorsque le péril venu d’au-delà des étoiles les retrouva. Leurs ennemis innommables les avaient retrouvés.
Ils avaient l’apparence de loups gigantesque sur la figure desquels on pouvait lire une cruauté maléfique, une cruauté qui n’était pas de ce monde ! Une cruauté magique prête à se repaître de la magie des elfes.
L’affrontement fut à la hauteur des puissances magiques qui se heurtaient ! L’affrontement final fut tel que la magie détruisit la magie, entrainant chaos et destruction alentour. La terre en trembla sur son orbite. L’immense, la magnifique forêt du Sahara en fut détruite à jamais, changée en un aride désert. Plus jamais les chansons des elfes ne s’élèveraient sous ses frondaisons.
Vint enfin le moment où la dernière poignée d’elfes affrontât ses derniers adversaires, les derniers survivants des puissances du mal ! Epuisés, exténués, les adversaires firent une pause. L’extermination mutuelle était proche. Plus jamais l’une ou l’autre race ne pourrait prospérer. Croître et multiplier était devenu un passé à jamais révolu. Nul enjeu ne justifiait plus cette lutte.
Incapables de vaincre, les derniers survivants jetèrent le reste de leurs pouvoirs magiques dans le combat final. La magie affronta la magie ainsi furent détruites les dernières traces de magie sur notre monde. Ainsi furent détruits le mal absolu et le bien absolu, ne laissant sur notre monde que l’Espérance !
Ainsi les derniers survivants de ces deux races furent-ils privés de leurs pouvoirs magiques et devinrent-ils mortels.
Les elfes devinrent humains ! La plus noble part en eux était la soif de liberté qui s’exprimait dans leur communion avec la nature, dans cette démarche souple et ondulante, dans cet étrange regard qui traversait leurs vertes pupilles au dessin vertical. C’est ainsi que l’essence des elfes devint le chat ! Et que jamais plus l’homme ne connaitrait l’essence de la liberté qui serait l’objet des aspirations les plus profondément ancrées en lui !
Leurs ennemis de leur côté perdirent taille et puissance, sauvagerie et cruauté, devinrent loups et chiens, perdirent soif de conquête et de liberté. Ils jurèrent fidélité à ce qui restait de leurs anciens adversaires.
C’est ainsi que naquirent l’homme, le chat et le chien et que la place de chacun fut inscrite au firmament. L’homme toujours dominerait et aspirerait à une liberté qui jamais ne saurait lui suffire. Le chien, dans une fidélité à toute épreuve, jamais ne pourrait plus imaginer la liberté perdue. Le chat, épris de liberté, chercherait toujours autour de l’homme son moi à jamais disparu, mais jamais ne saurait connaître le repos. Et chat et chien garderaient à jamais une part de cet antagonisme qui avait failli tout annihiler !
On dit que certains furent peu affectés par ces transformations. Anubis raconta son histoire qui fut interprétée et transmise dans le Livre des Morts. Le dernier de la race dit-on disparut en France du côté de Gévaudan.
Isis, Osiris, Seth et quelques autres vécurent leurs derniers siècles au cœur de ce qui fut autrefois l’impénétrable forêt du Sahara et allait devenir les déserts de la Haute et de la Basse Egypte. Leurs récits, mal compris des hommes, allaient faire d’eux les divinités de l’Egypte naissante.
La dernière d’entre eux, Bastet, avait à la fois gardé son humanité et sa soif de liberté absolue. Tout en elle s’exprimait dans sa démarche et son allure féline. Elle ressemblait à une déesse à tête de chatte et exprimait en elle à la fois la douceur bucolique de sa race et les extrêmes colères qui avaient failli vaincre leurs ennemis.
C’est ainsi que Bastet, dernière survivante de ces épopées fantastiques, devint déesse de ce peuple nouveau qui jamais plus ne pourrait atteindre la splendeur de ces elfes dont ils étaient issus. Bastet permit l’alliance de son peuple, les chats, avec les humains leur permettant de vivre enfin côte à côte dans une approximation bien imparfaite de l’être unique qu’ils étaient autrefois. Ainsi l’homme découvrit que le chat était la part d‘absolu qui lui manquait.
On dit qu’une part de magie vit encore dans les lignées les plus antiques des chats d’Egypte et qu’ils peuvent rendre à certains humains une part du passé perdu.
Aujourd’hui encore, le mau égyptien porte en lui la bénédiction de Bastet. Conscient de cette richesse, il l’exprime par sa noblesse d’allure, sa forte personnalité indépendante, son tendresse fusionnelle pour l’humain. Selon la légende, la magie pourra renaître lorsque seront réunis dans une même portée les quatre couleurs du mau : le silver, le bronze, le black smoke et le noir, pour peu que leur humain favori en soit digne.
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