LES CHATS DU CAIRE
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LES CHATS DU CAIRE
Lointain descendant des chats des pharaons, le chat occupe toujours une place privilégiée en Egypte. Il occupe toujours une place importante dans le cœur de l’homme et revendique sa place à part entière au cœur des habitats humains. Pourtant, il a préservé sa liberté ancestrale et, s’il vit au cœur des cités égyptiennes, il vit rarement enfermé dans une maison. D’ailleurs, celles-ci ont généralement de nombreuses ouvertures lui laissant toute liberté de vaquer à ses occupations.
Au Caire ainsi que dans toutes les cités et tous les villages d’Egypte, il suffit de regarder autour de soi pour le voir juché sur un muret dans une pose hiératique évoquent la déesse Bastet. Dans les jardins des musées ou des hôtels, ils viennent percevoir leur dû auprès des touristes. Sur les marchés, ils sont rois et se repaissent des abats de poisson et de volaille qui sont jetés au sol.
Si l’on observe bien, on aperçoit de nombreuses belettes qui, elles aussi s’aventureront pour quérir leur nourriture. Visiblement, chats et belettes cohabitent en toute simplicité.
Ce qui frappe d’abord chez les chats du Caire, c’est la grande diversité de couleurs. Noir, gris et blanc, tigré : la noblesse du chat des rues d’Egypte a été reconnue sous le nom de « mau arabe ».
Lorsque l’on regarde plus attentivement, on aperçoit de nombreux chats gris clair avec des tâches noires et présentant de larges zones blanches. Ces chats sont d’apparence très proche de nos maus égyptiens d’aujourd’hui, mises à part ces tâches blanches.
On aperçoit aussi de nombreux chats roux mouchetés, dignes héritiers des chats qui furent représentés sur papyrus et bas-reliefs au temps des pharaons !
Enfin, en cherchant bien, on aperçoit enfin la splendeur, le digne descendant de Bastet, assis ou allongé au soleil en une pose typiquement féline. Son pelage brun est constelle de tâches noires qui font ressortir sa noblesse naturelle. Les égyptiens l’appellent le chat pharaonique. Chez nous, on l’appelle le mau égyptien bronze.
extrait du livre "à ma fille" - http://forum.fondcombe.com
Au Caire ainsi que dans toutes les cités et tous les villages d’Egypte, il suffit de regarder autour de soi pour le voir juché sur un muret dans une pose hiératique évoquent la déesse Bastet. Dans les jardins des musées ou des hôtels, ils viennent percevoir leur dû auprès des touristes. Sur les marchés, ils sont rois et se repaissent des abats de poisson et de volaille qui sont jetés au sol.
Si l’on observe bien, on aperçoit de nombreuses belettes qui, elles aussi s’aventureront pour quérir leur nourriture. Visiblement, chats et belettes cohabitent en toute simplicité.
Ce qui frappe d’abord chez les chats du Caire, c’est la grande diversité de couleurs. Noir, gris et blanc, tigré : la noblesse du chat des rues d’Egypte a été reconnue sous le nom de « mau arabe ».
Lorsque l’on regarde plus attentivement, on aperçoit de nombreux chats gris clair avec des tâches noires et présentant de larges zones blanches. Ces chats sont d’apparence très proche de nos maus égyptiens d’aujourd’hui, mises à part ces tâches blanches.
On aperçoit aussi de nombreux chats roux mouchetés, dignes héritiers des chats qui furent représentés sur papyrus et bas-reliefs au temps des pharaons !
Enfin, en cherchant bien, on aperçoit enfin la splendeur, le digne descendant de Bastet, assis ou allongé au soleil en une pose typiquement féline. Son pelage brun est constelle de tâches noires qui font ressortir sa noblesse naturelle. Les égyptiens l’appellent le chat pharaonique. Chez nous, on l’appelle le mau égyptien bronze.
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